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Concours de ferrade «en pays ».Plusieurs manades font face à un jury. Devant de nombreux spectateurs , elles tacheront de faire tomber l'annouble ( le veau ) sur une ligne prédéfinie ,pour assurer le marquage au fer de celui-ci.
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En plus du pâturage dont bénéficient les troupeaux, un apport de foin est distribué quotidiennement.
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Arrivée d'une bandido dans le char. Au fil des années et pour des raisons de sécurités, le départ des abrivados pour les arènes et l'arrivée des bandidos s'effectuent d'un camion (char). Anciennement les abrivados partaient de la manade et y revenaient après la course camarguaise.
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Folco, plongé dans cet univers taurin depuis tout petit. Fils de manadier, il accompagne son père à la moindre occasion,il suit ses traces...
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La ferrade : Au sein de la manade et devant un public qui peu participer, les gardians trient un par un les annoubles (veaux) d'un an qui doivent être marqués et escoussurés. Ils rabattent le veau sur le lieu de la ferrade, devant les spectateurs qui l'arrêteront pour les plus courageux. Il sera mis à terre, marqué au fer chaud pour l'identification et escoussuré (découpe d'une partie de l'oreille,selon une forme propre à chaque manade) pour différencier les taureaux d'une manade à l'autre. Le marquage et l'escoussure sont réalisés par Pascal.
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Le tri. Isoler des taureaux sélectionnés pour des courses camarguaise, des abrivados… d'un troupeau« inséparable ». Un travail ou les gardians et leur monture sont indispensables pour approcher les taureaux.
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Aux aurores, Pascal (le manadier), d'un geste qu'il fera plusieurs foisdans la journée, sors le matériel pour seller sa monture.
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Sylvain, gardian de la manade, sellant son cheval avant de participer à une abrivado.
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Durant une abrivado, une partie du public (les attrapaïres) participe à sa manière aux festivités en essayant de faire échapper ou de retenir les taureaux.
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Après le tri matinal des taureaux, le temps d'un café pour les gardians avant de continuer la journée qui s'annonce,comme tous les week-ends, chargée.
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Pascal et les gardians , attentifs à la prestation d'un taureau de la manade dans l'arène.
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Bandido à la nuit tombante devant une foule passionnée.
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Pascal et Folco, le manadier et son fils, observant les vaches de la manade lors d'un spectacle de jeux taurins.
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Après un spectacle nocture, est venu le temps de charger les acteurs dans le char avant de les bandire (ramener aux pârurages). C'est la fin d'une longue journée.
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Bernard, un des gardians de la manade dans l'attente de leur passage lors d'un grand concours d'abrivado, réunissant 12 manades sur la plage de Palavas.
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Fin de l'hiver, les activités de la manade s'accélèrent , il est temps pour l'ensemble des gardians de se remettre en selle et de s'exercer dans les arènes de la manade, avant que la saison ne batte son plein.
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La ferrade : Au sein de la manade et devant un public qui peu participer, les gardians trient un par un les annoubles (veaux) d'un an qui doivent être marqués et escoussurés. Ils rabattent le veau sur le lieu de la ferrade, devant les spectateurs qui l'arrêteront pour les plus courageux. Il sera mis à terre, marqué au fer chaud pour l'identification et escoussuré (découpe d'une partie de l'oreille,selon une forme propre à chaque manade) pour différencier les taureaux d'une manade à l'autre. Le marquage et l'escoussure sont réalisés par Pascal.
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La ferrade : Au sein de la manade et devant un public qui peu participer, les gardians trient un par un les annoubles (veaux) d'un an qui doivent être marqués et escoussurés. Ils rabattent le veau sur le lieu de la ferrade, devant les spectateurs qui l'arrêteront pour les plus courageux. Il sera mis à terre, marqué au fer chaud pour l'identification et escoussuré (découpe d'une partie de l'oreille,selon une forme propre à chaque manade) pour différencier les taureaux d'une manade à l'autre. Le marquage et l'escoussure sont réalisés par Pascal.
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Dans le toril , entre deux sorties de vachettes dans l'arène pour une animation de nuit, on ressent la fatigue d'une longue journée d'activités qui prendra fin dans quelques heures.
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Pascal, entouré des gardians attentifs aux consignes.
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En toute fin d'été, toutes les bétes sont vaccinées par un vétérinaire. Par 5 ou 6, lestaureaux sont alignés dans un couloir pour effectuer prises de sang et vaccins. Une des rares activités sans public.
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La saison estivale est terminée. Après la vaccination,est venu le temps pour quelques taureaux adultes de passer au bistournage. Rude épreuve pour les gardians que de faire tomber l'animal au sol et de le maintenir pendant qu'une personne s'occupe de le castrer. A l'aide d'une pince, non coupante , le cordon testiculaire sera sectionné.
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La saison estivale est terminée. Après la vaccination,est venu le temps pour quelques taureaux adultes de passer au bistournage. Rude épreuve pour les gardians que de faire tomber l'animal au sol et de le maintenir pendant qu'une personne s'occupe de le castrer. A l'aide d'une pince, non coupante , le cordon testiculaire sera sectionné.
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L'entrée en piste du taureau lors d'une course camarguaise.Toujours un moment fort pour Pascal et ses gardians, qui regarderon tavec attention les qualités de celui-ci.
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La course camarguaise, finalité de tant de travail. Le manadier doit repérer parmi l'ensemble de son élevage, les taureaux susceptibles de déjouer la course des raseteurs. Ceux-ci devront retirer à l'aide d'un crochet, des attributs fixés sur les cornes du taureau . Un jeu taurin bien différent de la corrida, qui passionne les habitants de toute une région du Sud de la France.